11 février

Oléron. Côte est. Nous nous faufilons au milieu des cabanes des ostréiculteurs et de leurs bassins pour atteindre le bord de mer. La marée basse découvre de larges plages, parfois herbeuses ou rocheuses. Nous installons les longues vues et cherchons à déterminer les oiseaux posés à une certaine distance.

Bernache cravant (Branta bernicla)

Tournepierre à collier (Arenaria interpres)

Goélands argentés (Larus argentortus)

Tadornes de belon (Tadorna tadorna)

Cardères

Faucon crécerelle (Falco tinnunculus)

Après une matinée à scruter l’estran en différents endroits, nous nous installons devant la réserve intégrale de Moëze pour notre pic-nic du milieu de journée.

 

Aigrette garzette (Egretta garzetta)

Canards colverts (Anas platyrhynchos)

Pointe de Perrotine. Non loin du fort Boyard. Nous nous dispersons sur la jetée qui mène au phare. Luc s’installe au niveau de la mer montante, moi à celui de la limite entre les sables secs et mouillés. Des bancs de sable servent de reposoirs à des centaines d’oiseaux : huitriers pies, goélands, bécasseaux, gravelots … Mais la mer monte et petit-à-petits, les oiseaux doivent trouver d’autres endroits pour se reposer ! Quel spectacle !

Grand gravelot (Charadrius hiaticula)

Huitrier pie (Haematopus ostralegus)

Goélands cendrés (Larus canus) Goélands marins (Larus marinus)

Bécasseau variable (Calidris alpina) et gravelots

Mouette rieuse (Chroicocephalus ridibundus)

Corneille noire (Corvus corone corone)

Bécasseau sanderling (Calidris alba)

Nous terminons la journée sur le port de la Cotinière. La marée a un fort coefficient et elle est haute, le spectacle est assuré !