12 février
Il pleut ce matin. Fort. Nous devions aller dans la baie de
l’Aiguillon mais cette météo pourrie nous refroidit. Nous partons pour les
marais, là au moins nous restons en voiture. Encore que le temps d’ouvrir la
fenêtre et de passer l’appareil, on est bien mouillé !
Chevalier cul blanc (Tringa ochropus)
Aigrette garzette (Egretta garzetta)
Vanneau huppé (Vanellus vanellus)
Cigogne blanche (Ciconia ciconia)
Héron garde-boeuf (Bubulcus ibis)
Spatule blanche (Platalea leucorodia)
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Héron cendré (Ardea cinerea)
Renard roux (Vulpes vulpes)
A midi la pluie cesse, les nuages se déchirent et le soleil apparaît !
Nous lâchons le marais pour retourner sur Oléron. La marée haute devrait nous
ramener des oiseaux. Au niveau du phare de Chassiron l’eau est déjà haute, nous arrivons trop tard
mais à la jetée de Boyardville le reposoir n’est pas encore recouvert et des
milliers d’oiseaux s’y tiennent serrés. Au fur et à mesure que la mer monte,
les oiseaux s’envolent pour se poser un peu plus loin sur la plage de cette
réserve naturelle intégrale ou sur les blocs de pierres de la jetée derrière
laquelle le fort Boyard se découpe.
Bernache cravant (Branta bernicla)
Huîtrier pie (Haematopus ostralegus), Grand gravelot (Charadrius hiaticula), Bécasseau variable (Calidris alpina), Goélands sp. (Larus sp.)
Grand cormoran (Phalacrocorax carbo)
Bécasseau sanderling (Calidris alba)
+ Gravelot à collier interrompu (Charadrius alexandrinus)
Tournepierre à collier (Arenaria interpres)
Foura
Pipit spioncelle (Anthus spinoletta)
Nous terminons au bord de l’eau au port de la Cotinière. La
mer est calme et pourtant les vagues se fracassent sur la plage en gros
rouleaux qui explosent libérant une écume blanche qui s’échoue sur le sable
doré. Le soleil descend sur l’horizon, la lumière est belle, le spectacle est
envoutant !
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