10 février

Oléron. Aujourd’hui nous restons sur l’île. Première visite : deux marais. A part quelques foulques, peu d’oiseaux visibles.

Foulque macroule (Fulica atra)

Pie bavarde (Pica pica)

Grèbes à cou noir (Podiceps nigricollis)

Grèbe castagneux (Tachybaptus ruficollis) 

Nous rejoignons la pointe nord de l’île, dans un premier temps sur la côte ouest. Nous descendons sur l’estran et avançons doucement au milieu des amas rocheux et des flaques d’eau. Tourne-pierre, bécasseaux et bernaches cravants se partagent les lieux.

Goéland marin (Larus marinus)

Goélanfs bruns (Larus fuscus)

Bernaches cravants (Branta bernicla)

Tourne-pierre à collier (Arénaria interpres)

Bécasseau sanderling (Calidris alba)

Grand gravelot (Charadrius hiaticula)

Bécasseau variable (Calidris alpina)

Grand cormoran (Phalacrocorax carbo)

Peu de cravants sur le sable mais par contre nous en trouvons toute une troupe sur un espace herbeux. Ces petites oies sont très jolies mais ont un sacré caractère. Elles se chamaillent facilement !

Nous contournons le phare de Chassiron et descendons sur l’estran est. Le coefficient de marée est élevé et la mer est déjà bien haute. Nous nous asseyons chacun sur un rocher et attendons que la marée nous amène les oiseaux qui se nourrissent au bord des vagues. Petit-à-petit bécasseaux et tourne-pierres se rapprochent jusqu’à ce qu’à notre tour nous devions refluer chassés par cette marée montante qui envahit toute la plage. Les oiseaux sont partis.

Goéland argenté (Larus argentatus)

G. marin

Pluvier argenté (Pluvialis squatarola)

Aigrette garzette (Egretta garzetta)

Nous allons jusqu’au phare et contemplons cette extrémité de l’île ! Quel vent !

Je suis fascinée par les rouleaux de vagues qui s’écrasent à grand fracas sur les plages. La mer attaque le rivage de toute son énergie, puis recule pour revenir toujours plus rageusement !