mardi 24 mars 2020


MARS

1er mars    

Marée haute 7h56 & 20h – Marée basse 14h43- Coeff 57/52

Côte Est de l’île – Fort Royer, site ostréicole et ses cabanes colorées.

Ah ce vent, toujours bien présent, parfois accompagné d’une légère pluie qui nous oblige à nous accrocher à nos appareils et à nous abriter derrière une de ces sympathiques petites cabanes ! La nôtre sera bleue pour déguster notre sandwich !
Devant nous : la réserve intégrale de Moeze-Oléron. Du sable, des roches, des oiseaux à perte de vue  et la mer, loin…. Un goéland intéressé par notre pique-nique s’avance…

 Fumeterre officinale (Fumaria officinalis)





 Goélands argentés (Larus argentatus)



 Bécasseaux variables (Calidris alpina)



 et Grands Gravelots (Charadrius hiaticula)


 Courlis cendrés (Numenius arquata)

 Courlis corlieu (Numenius phaeopus)



 Chevalier gambette (Tringa totanus)


 Goéland argenté













 Bécasseaux et Gravelots


 Macreuses noires (Melanitta nigra)


 Bernache cravant (Branta bernicla) et Goéland marin (Larus marinus)


Aigrette garzette (Egretta garzetta)


C’est un lacis de chenaux autour desquels ont été érigées ces cabanes colorées. Fermées pour la plus part en cette saison, elles veillent sur quelques bateaux qui attendent des jours meilleurs.









 Aigrette garzette





















Chenal de la Perrotine – Boyardville.

J’avance sur la jetée, vent de face ! D’abord l’estran puis l’océan m’accompagnent, m’entourent tout au long de ma progression. Des goélands fatigués me guignent du coin de l’œil…vais-je les déranger ? Vont-ils devoir s’envoler ? Fort Boyard se dresse au milieu des vagues, inaccessible, inébranlable ! Plus loin,  l’île d’Aix se profile dans la brume. Étrange configuration qui voit l’océan coincé entre deux terres.


 Goéland marin







 Fort Boyard





 Île d'Aix


















 Pluvier argenté (Pluvialis squatarola)



 Bernache cravant


 Goéland argenté






Route de l’Huitre – Pointe d’Arceau, Bellevue, La Baudissière.

Nous continuons nos pérégrinations à travers ces paysages plats, sablonneux, où la limite entre la terre et la mer fluctue au rythme des marées. Nous observons faune et flore toujours secoués par ce vent omni présent ! A nouveau des petits chenaux, des cabanes, des bateaux témoins de l’activité ostréicole.

 Le repère foncé sur la plaque indique le niveau maximum atteint par l'eau lors de la tempête Xynthia (27 et 28 février 2010)!








2 commentaires: