jeudi 20 septembre 2012


26 août

Le soleil descend sur l’horizon, la lumière ce fait douce et chaude, l’air tiède est rempli des cris des jeunes bergeronnettes printanières qui se poursuivent. Que cela fait du bien tout ce calme, cette lumière après le week-end pluvieux et venteux que nous avons essuyé. Je suis agenouillée derrière les chardons qui me servent d’affût le long de la mare naturelle au milieu de ce parc à usines. Luc s’est faufilé dans la végétation et s’est installé au niveau de l’eau.



Nous observons deux bécassines qui plongent leur long bec dans la boue à la recherche de leurs mets favoris.
 
Les deux bécassines très mimétiques!
 
 
 
 
 
Au loin deux buses se partagent les poteaux électriques n’hésitant pas à y déloger le faucon crécerelle qui s’en servait de tour de guet !
Que nous sommes bien là, décompressant de l’agitation de ces derniers jours, savourant ce temps entièrement consacré à ce que nous aimons par-dessus tout : la nature.
 
Tout à coup un chevalier atterrit au bord de l’eau. Le temps de l’apercevoir et il repart tout aussi vite en lançant un cri aigu. Un cul blanc ? Possible.
Nous sommes immobiles, camouflés, observant le ballet incessant des bergeronnettes printanières et la progression des bécassines qui finissent par arriver non loin de moi. Moment de jubilation, de bonheur…
 
Bergeronnette printanière
 
Un dernier petit ver
 
Quelques étirements
 
 
 
et il est temps d'aller se coucher!
 
...pour une bonne nuit!
 
C'est au tour de la deuxième de choisir son coin de repos
 
 
 
 
Un tarier se pose sur un piquet, un pâtre ? Un tarier des prés ? A vérifier, dès que nous rentrons, sur les photos que nous avons réussies à prendre !
 
Tarier des prés
 

 

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