29 avril
La pluie d’hier soir a
trempé la végétation qui ce matin peine à sécher. Les fleurs se serrent frileusement
entre les herbes hautes. Les araignées chassent, une limace escalade un brin d’herbe
qui plie sous son poids. Mais pas le moindre mouvement chez les faucons…
Stellaire holostée (Stellaria holostea)
Pisaure (Pisaura mirabilis)
Lézard des murailles (Podarcis muralis)
Les cinq petits corbeaux
ont bien grandi ! Serrés dans l’étroite anfractuosité où leurs parents ont
bâti le nid, ils se lissent les plumes, battent des ailes … l’envol ne doit pas
être bien loin. Les parents signalent leur arrivée avec de graves croassements
auxquels les petits font échos. Ils ouvrent largement leur bec offrant la
couleur rose vif de l’intérieur de leurs mandibules ce qui incite les adultes à
les nourrir.
Le temps de nourrissage
est très rapide, guère plus d’une minute avant que père ou mère ne repartent à
la chasse.
Sur le nid de pèlerins
rien à voir ! On finit par les entendre, puis les voir en vol. Ils se
posent sur la paroi rocheuse, crient, repartent…. Mais ne nichent pas, plus ?
Orchis bouffon (Orchis morio)
Aubépine (Crataegus)
Grand corbeau (Corvus corax)
Faucon pèlerin (Falco peregrinus)
Super les grands corbeaux
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