mercredi 13 mars 2019



11 mars

Après une semaine urbaine, nous retrouvons notre campagne avec bonheur ! Soleil, chaleur, pluies…il n’en fallait pas plus pour faire exploser le printemps ! Chatons velus, bourgeons gonflés, minuscules feuilles vertes et surtout une multitude de fleurettes ! Je m’en donne à cœur joie, vautrée sur la terre odorante le nez dans l’herbe !











 Géranium



 Ficaire (Ficaria verna)







 Anémone sylvie (Anemone nemorosa)







 Primevère officinale (Primula veris)

 Corydale (Corydalis solida)

 Narcisses


 Compagnon rouge (Silene dioica)























 Lathrée clandestine (Lathraea clandestina)

 Violette odorante (Viola odora)



 Buse variable (Buteo buteo)


 Muscari et abeille (Andrena fulva)






 Pâquerette (Bellis perennis)





La nuit tombe. Déjà plus de deux heures que nous sommes en affût sous nos filets, immobiles et silencieux….et rien ! Luc remballe son matériel et se dirige vers moi. C’est bien sûr à ce moment là que la grosse laie sort du bois. Elle se fige, fixe de ses petits yeux perçants le mirador sur lequel je suis perchée et prudemment fait un grand tour au petit trot pour m’éviter. Le temps de faire un signe à Luc qui met vite un genou en terre et la bête arrive droit sur lui ! Face-à-face de quelques secondes, trois photos, un grognement rageur et l’animal fait demi-tour ! Du haut de mon perchoir je la suis des yeux et…des oreilles ! Ses grognements s’éloignent quand de la haie dans mon dos, surgit une bande de bêtes rousses qui au triple galop s’enfonce dans le bois. Les jeunes de l’année dernière de cette grosse laie s’en doute. Plus de lumière, pas de photo !


 Sanglier (Sus scrofa)






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