jeudi 15 septembre 2016


10 septembre


Soleil, chaleur. Un coin de nature au milieu de nulle part. Aucun bruit de moteur. Juste le miaulement des buses, le cri strident du martin ou le gazouillis des bergeronnettes. Aussi, le vrombissement des insectes qui tournent autour des digitales et des molènes noires. Les herbes hautes d’où les épilobes sèment leurs plumets blancs qui s’envolent au gré du vent, s’entrelacent de ronces et de chardons défendent l’accès aux étangs où s’érige un amas de branches…une ancienne  hutte de castors….

 Milan royal (Milvus milvus)... trop loin hélas!

 Digitale pourpre (Digitalis purpurea)

 Aeschne bleue (Aeshna cyanea) femelle en train de pondre

 Molène noire (Verbascum nigrum)



 Hutte de castors construite sous l'eau mais apparue avec la baisse du niveau due à l'effondrement de la berge causée par eux-même.




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