14 novembre

Épais brouillard ce matin sur l’étang ! Une fois de plus ! Nous avons le son mais pas l’image… que c’est frustrant ! Il faut que les oiseaux montent haut dans le ciel pour que nous commencions à les apercevoir. Étrange brouillard brennou qui occulte le sol et laisse le ciel dégagé. Pourtant nous restons. On attend, on écoute, on scrute la masse cotonneuse, on espère qu’elle va se dissiper avec l’arrivée du soleil….. Mais non. Tant pis. Ce brouillard a quand même un certain charme…

 Rouge-gorge familier (Erithacus rubecula)

 Grues cendrées (Grus grus)

 Grèbe huppé (Podiceps cristatus)

 Héron cendré (Ardea cinerea)

 Grandes aigrettes (Egretta alba)

A l’étang Luc le brouillard n’est toujours pas levé, pourtant nous sommes en fin de matinée ! Ici aussi le charme opère quand les oiseaux se dévoilent.

 Ecureil roux (Sciurus vulgaris)

 Foulque macroule (Fulica atra)

 Cygne tuberculé (Cygnus olor)

 Ragondin (Myocastor coypus)

 Héron cendré (Ardea cinerea)

 Busard des roseaux (Circus aeruginosus)

 Grande aigrette (Egretta alba) + Grand cormoran + colverts + foulques....

 Campanule (Campanula)

 Cygne

Ce soir nous participons au comptage des grues de la Brenne.  Installés sur une hauteur, nous attendons, avec d’autres compteurs, qu’elles arrivent. Nous surplombons l’étang où elles passent la nuit. Le soleil se couche enflammant le ciel côté ouest, tandis qu’il rosit côté est.

Et tout-à-coup nous les entendons avant de les voir. Et la magie reprend : nous ne savons où donner de la tête pour ne pas en louper…. Nous  compterons 1830 oiseaux (peu par rapport aux jours précédent). En tout sur la Brenne le comptage total est de 3200.