dimanche 25 novembre 2012


3 octobre
 
Le chemin qui mène à l'observatoire
 
 
Vue du fond de l'étang
 

 L'arbre mort qui sert de perchoir

Ricot – 7h30. Très nuageux, parfois quelques gouttes, du vent mais 14° ! A peine installés dans l’observatoire, le martin pêcheur nous signale son arrivée par son sifflement aigu, bref et perçant. Il se pose sur un piquet, sur un autre, puis dans la roselière : il ne tient pas en place !
 
 
 
 
 
 
 
Femelle Martin-pêcheur (mandibule inférieure rouge-orangée. Entièrement noire chez les mâles)
 
 
 
Ah mais voilà la raison de sa nervosité ! Un autre martin pêcheur surgit ! Quelques éclairs bleus et oranges plus tard et les voilà partis l’un derrière l’autre à toute vitesse ! Madame poursuivie par un monsieur? Nous n'avons pas eu le temps de le vérifier!
Le héron cendré est là, fidèle au poste. Une buse miaule au loin. Tout est calme…. Un milouin vient faire sa toilette sur la souche puis repart vivre sa vie….
 
Héron cendré...
 
.... un p'tit air de vautour! ;0)
 
Fuligule milouin
 
Mâle adulte en éclipse (oeil rouge)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
A présent c’est l’averse. Les rainettes manifestent sous cette douche : concert de grenouilles ! L’averse cesse, elles se taisent. Amusant !
Maintenant l’averse redouble, tambourine sur le toit de bois de l’observatoire. Heureusement que nous sommes à l’abri ....déjà que je tousse ! Même les poissons sont excités par toute cette eau venue du ciel. Je les vois jaillir hors de l’eau, retomber… en voilà un qui le fait trois fois de suite ! Concours de ricochets chez les poissons ?
 
En matinée, deuxième observatoire de Foucault. Pas facile d’observer depuis celui-ci. Soleil de face, haies épaisses, distance…. On peut juste voir que les travaux avancent dans l’observatoire principal.
 
 
Nous avons tout de même la chance de voir le « balbu » survoler l’étang !
 
Balbuzard pêcheur
 
 
 
 
 
Petit crochet par Pèchevreau. Juste une aigrette au loin et ... une vache!
 
Grande aigrette... un petit pas de danse!
 
 
 
 
Vieux troncs
 
 
Ferme brennoue traditionnelle
 
Fin de journée dans notre coin habituel. Sur Gorgeat tous les limicoles sont partis ! Sur les Epinettes, le balbu est là, fidèle au poste, sur son piquet mais sans poisson cette fois. Dans une prairie une biche et son faon broutent paisiblement.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Dans une autre : même tandem qui rentre dans le bois mais laisse un cerf derrière elle. Ce dernier semble inquiet et finit par s’abriter à son tour.
 
 
 
 
 
La cause de son inquiétude se tient à quelques mètres : un autre cerf.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Tout à coup c’est le déluge ! On se colle au tronc du chêne le plus près pour éviter d’être totalement trempés. Le cerf fait de même ! Les grands arbres nous protège au plus fort de l’averse et une fois que cette dernière s’éloigne aussi rapidement qu’elle a surgi la bête se remet à brouter. Tranquillement.
 
 
 
 
 
 
 
 
Un halo d'humidité cerne sa tête... il fume... il sèche!
 
 
 
Sur le chemin, un léger brame s’élève. Nous redoublons de précautions, nous restons un bon moment en affût, mais … rien ne sort !
Au retour sur Gorgeat : deux biches suitées. La même chose dans la prairie à l’entrée du chemin. Sur une autre ce sont deux chevreuils qui batifolent. Mais il fait nuit et faute de visibilité nous sommes obligés de rentrer.
 
 
 

 


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